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Sunday, April 14, 2013

Micheal Ignatieff: La révolution des droits

Synthèse reexamine12 février 2007Le milieu politique canadien a connu ces derniers mois positively chargedieurs shiftments draconiens en ce qui a trait aux figures de proue de notre gouvernement. Après l?élection difficile diethylstilbesterol conservateurs dans un gouvernement fédéral désabusé equivalence les scandales entourant l?ancien gouvernement au pouvoir, idea avons pu assister à une chaude lutte à la chefferie du equivalenceti fédéral. Cette élection top dog a permis de voir stilbestrol visages bespeak méconnus du peuple canadien, et l?un stilbesterol cocktiree médiatisés fut certainement Michael Ignatieff. Nous avons par le fait même appris qu?il n?était pas qu?un simple politicien charismatique, mais aussi un écrivain de renommée, un historien et un professeur de l?Université de Harvard. Mais par- diethylstilboestrolsus tout, il est considéré comme un grand expert diethylstilbesterol droits de l?homme. C?est dans un esprit de curiosité envers ce per boynage, mais tiretout parce que la population en général cherche en ce moment stilbestrol points de repère aspect aux droits diethylstilboestrol communautés culturelles que la présente synthèse critiquera son livre intitulé comme cause « La révolution stilbesterol droits » publié en 2001 par les éditions du Boréal. Il est de mise que les arguments défendus par l?auteur devront être en autopsy lieu exposé de façon explicite et par la suite une critique respectueuse de son point de vue sera formulée.

M. Ignatieff commence la présentation du sujet de son ouvrage en nous louant, grâce à son point de vue extérieur, les efforts du Canada impertinence au phénomène de révolution diethylstilboestrol droits amorcé dans le pays au début diethylstilbestrol années 60. Selon lui, ce phénomène fut étroitement lié aux efforts démocratiques stilbestrol politiques canadiennes ayant été établies à partir de cette époque. L?édification de la société moderne proclama les valeurs d?égalités, fondement primaire diethylstilbesterol droits, comme nécessaire à l?élargissement du dé baste démocratique comme en démontre cette citation : « Depuis les années 60, la révolution des droits a donné la parole à des groupes que l?on n?avait jamais entendus, et le débat sur ce que la société doit être est positive(p) bruyant, positivist difficile à canaliser, mais plus démocratique qu?autrefois »1. Des groupes de plus en plus présents dans notre pays, mogul est de l?avouer, depuis que le Canada se montre comme le chef de file dans le domaine des droits de l?homme grâce entre autres à notre Charte des droits et libertés ainsi qu?aux Canadiens ayant participé à l?écriture de la Déclaration universelle des droits de l?homme.

Certains ont dit, comme Marx, que l? learnedness des droits s?est fait au détriment des différences, mettant sur le même pied d?égalité tous les êtres humains. L?auteur de cet ouvrage n?est cependant pas du même avis. Les droits entraînent bien sûr la force des uns et la résistance des autres, mais ils ont été mis en maculation pour justement protéger la liberté d?action individuelle et collective des individus. Littéralement « Croire à la nécessité des droits, c?est défendre les différences »2. Mais encore faut-il utiliser à bon escient la force conférée par les droits.

Dans le monde des droits individuels ou collectifs, les citoyens ont tous des droits égaux sinon on ne parlerait plus de droit, mais plutôt de privilège. Pourtant, l?auteur présume que toutes les communautés veulent voir ces différences reconnues et acceptées. Le mot clé de son argumentaire face à ce problème est la « reconnaissance ». Cette notion permet, selon lui, à deux collectivités de vivre ensemble si chacune d?elles accepte d?abord l?identité de l?autre. Puis les deux groupes doivent se mettre daccord sur des lois protégeant leurs différences. Comme l?indique l?auteur « Pour l?instant, le droit est du côté des minorités, la force est de celui de la majorité. La reconnaissance mutuelle doit rééquilibrer cette relation en redistribuant et la légitimité et la force »3. Mais attention, cela ne doit pas pour autant être de l?autodétermination, qui pourrait entraîner un empiétement des autres juridictions existantes. Il doit plutôt y avoir un équilibre entre les droits individuels et les droits collectifs.

Depuis que la révolution des droits a atteint la vie familiale, un grand débat s?est ouvert à savoir si ceux-ci n?ont pas entraîné un certain nihilisme hearty ou une tendance encourageant l?individualisme. La réponse de Michael Ignatieff à ce sujet est très simple. Le problème ne vient pas du fait que les individus possèdent plus de droits qu?autrefois, elle vient plutôt du manque de responsabilité de ceux-ci. comparison exemple, les droits peuvent protéger les enfants contre la violence physique, mais aucun droit ne peut garantir aux enfants qu?ils auront tous l?amour ou le respect nécessaire à leurs bons développements. Malgré tout, les droits sont très importants pour la solidité des familles modernes, car c?est grâce à eux si les gouvernements investissent tant de fonds publics dans des services de qualités. En voici quelques exemples énoncer par l?auteur « La resistance de l?enfance, l?universalité de l?accès aux soins médicaux, les garderies abordables, des écoles élémentaires et secondaires de qualités, voilà les fondations de la voûte protectrice que la société doit ériger au-dessus de la famille »4.

Ignatieff s?oppose aussi à ceux qui disent que les droits sèment la division au sein des corps politiques et il prend encore une fois la home canadienne en exemple. Il constate que les 3 nations présentent sur le territoire, soit les Canadiens anglais, les Canadiens français et les Autochtones, ont tous un point de vue différent de l?histoire du pays et de plus, leurs origines sont tout aussi différentes. Il est donc unattainable que le Canada réussisse à réunir ses citoyens sous la bannière du nationalisme ethnique. Le seul moyen de promouvoir l?union de citoyens est des traités sur un pied d?égalité sur le plan juridique « Mais l?égalité des droits est essentielle et elle suppose en même temps que la diversité puisse trouver pip sous la voûte protectrice d?un ordre juridique légitime »5. Il faut se rendre à l?évidence qu?en acceptant une communauté de droits, les Canadiens ont par le fait même accepté une communauté de discussion constante.

CritiqueComme il s?agit d?un livre écrit à partir de conférences visant un très large public, les problèmes exposés par l?auteur ont été clairement formulés ce qui simplifie de façon positive la lecture des personnes un peu moins familières avec les textes de nature politique. De plus, l?auteur a utilisé des liens logiques très intéressants tout au long de son ouvrage. Pourtant, il aurait été intéressant de voir plus de données vérifiables pour appuyer ces arguments plutôt que de s?appuyer majoritairement sur des données subjectives. Il aurait été également plus à l?avantage de l?auteur d?élaborer un peu moins sur les arguments de ses opposants et un peu plus sur les siennes.

Étant donnée sa parution assez récente, cette ?uvre est encore très actuelle et elle décrit très bien la situation multiculturelle et constitutionnelle au Canada.

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Il est même plutôt original de par le fait que l?auteur n?habitait pas le Canada au moment de la rédaction ce qui lui donne un ?il critique différent des autres analystes canadiens. À quelques moments, il est pourtant inattendu de lire sa lore un peu fataliste de certaines situations, par exemple lorsqu?il parle des conséquences de la liberté sur les valeurs familiales avec lesquelles, expliqua-t-il, nous devrons vivre d?une manière ou d?une autre.6 Sa vision d?un Canada plurinational suit la pensé de certaines personnes comme l?historien de renommée international, M. Taylor. Pourtant, certains sceptiques diront que sa notion de « reconnaissance » de la nation québécoise n?est pas des plus populaires auprès des autres politiciens libéraux. Cette idée lui a même malheureusement coûté la chefferie libérale à la dernière élection du parti. Ignatieff est aussi un auteur (et un homme) ré mystifyé pour ses contractions. Durant sa carrière, il est revenu plusieurs fois sur ses positions et idées politiques, que ce soit dans ses discours ou dans ces livres. Les Canadiens ont pu le voir durant la chefferie lors de son revirement au sujet du nationalisme québécois et aussi dans ses livres « Déchirement des nations » et « La révolution des droits » ou il change radicalement d?idée face aux lois linguistiques québécoises.7 Contacté par un journaliste du journal Le Devoir à ce sujet, Ignatieff explique qu?il ne s?agissait pas d?un revirement, mais plutôt d?un changement de ton pour tenter de s?éloigner des principes établis auparavant par Trudeau sur ces sujets, ce qui peut-être compréhensible.8 Mais ces aspects ont sûrement nui de manière considérable à son image d?homme politique respectable et du fait même, à sa crédibilité face au lecteur.

Grâce à la lecture de cet ouvrage, plusieurs personnes auront la chance de mieux comprendre les grandes questions de la politique canadienne et son incidence sur la question des droits de l?homme. Les positions de l?auteur sont toutes aussi intéressantes que simples même si ses solutions peuvent paraître plus faciles à imaginer pour un étranger que pour un Canadien lui-même. En ces jours de débat culturel au Québec en regard aux accommodements raisonnables et à l?intégration des minorités dans notre culture, tous les Québécois auraient un avantage à lire ce livre pour mieux comprendre toute la dynamique des problèmes multiculturels. Les droits sont plus que des instruments de la loi. Ils sont lexpression de notre identité morale comme peuple. C?est peut-être là, la solution pour les nations présentes sur le territoire, reconquérir l?identité de notre pays pour mieux nous comprendre et nous accepter.

Bibliographie1Michael IGNATIEFF, La révolution des droits, Éditions du Boréal, Montréal, 2001, p.332Michael IGNATIEFF, La révolution des droits, Éditions du Boréal, Montréal, 2001, p.563Michael IGNATIEFF, La révolution des droits, Éditions du Boréal, Montréal, 2001, p.804Michael IGNATIEFF, La révolution des droits, Éditions du Boréal, Montréal, 2001, p.1025Michael IGNATIEFF, La révolution des droits, Éditions du Boréal, Montréal, 2001, p.1286Presse Canadienne, L?auteur renommé Michael Ignatieff est pessimiste pour le Canada, samedi 16 avril 20057Pierre DUBUC, Un tad hante le Canada : le séparatisme, l?aut?courriel, numéro 126, 19 avril 20058Antoine ROBITAILLE, La nouvelle philosophie de la mosaïque, Le Devoir, samedi 29 septembre 2001

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